Sur cette page vous trouverez une liste d’articles récoltés un peu partout dans les médias. Ces articles montrent différents aspects de notre société, tous ont en commun le fait que le système actuel est en faillite et que le Revenu de Base Inconditionnel serait une belle solution à tous les problèmes décrits.

  1. Stagiaire un métier plein d’avenir !

    En Suisse, depuis 2007, le nombre de postes de stages a augmenté de 40%, selon une étude d’Adecco.
    => 61,4% des personnes ayant effectué un stage disent avoir eu du mal à trouver un emploi. Le taux monte à 78,6% pour les personnes en ayant effectué plus de deux. Selon la même étude, cinq ans après leurs études, les anciens stagiaires sont même proportionnellement moins nombreux à occuper un poste fixe que ceux qui sont directement entrés dans la vie active (56,4% contre 89,5%). Pas si infaillible que ça l’outil d’insertion professionnelle…

  2. L’obsolescence programmée des employés.
    Les employés sont toujours plus considérés comme des “Ressources” humaines et plus des employés humains. On jette les employés après les avoir bien pressés. Le dopage qui est décrié dans le sport est encouragé dans le monde du travail !

  3. Un suisse sur 4 n’a plus d’argent à la fin du mois lorsqu’il a payé ses factures courantes.
    Selon une étude de la société de crédit et de recouvrement Intrum Justitia , 26% des suisses n’ont plus d’argent une fois les factures mensuelles payées. Ceci alors que le revenu globale du peuple suisse ne fait que d’augmenter.
    => Avec un tiers de son revenu, le peuple suisse peut assurer que chacun(e) puisse vivre. En effet, pour payer un RBI de CHF 2500.- / mois, par habitant de ce pays, il suffirait du tiers des 600 milliards de revenu du global du peuple suisse. (moyenne PIB, PNB)

  4. Faux emplois pour vrais chômeurs
    Aucune expression ne résume mieux la situation que celle de plusieurs des personnes rencontrées : c’est un« vrai-faux travail ». Dans leur esprit, les travailleurs assignés exercent un vrai travail, puisqu’ils produisent des biens et des services dans un rapport hiérarchiques ; mais ils parlent aussi de faux travail puisque, contrairement aux salariés, ils ne sont pas liés par un contrat classique, mais par un « contrat d’objectifs » qui définit les rapports hiérarchiques, la prestation et le temps mis à disposition, sans accord sur la rémunération. Pas de prévoyance retraite, par exemple, ni de possibilité de prolonger un droit au chômage.
    => Pour garantir le dogme du plein emploi, on est prêt à faire travailler des gens pour rien et payer des gens qui les surveillent… donner un Revenu de Base Inconditionnel coûte moins cher et valorise tout le monde !
    faux emplois pour vrais chômeurs
  5. Les inégalités sociales sont croissantes. Les riches toujours plus riches et les pauvres toujours plus pauvres“En Suisse, 330 000 millionnaires côtoient 250 000 bénéficiaires de l’aide sociale, soit 3,1 % en 2012. Or le nombre de riches progresse comme celui des pauvres, là est le problème”, a fait remarquer Felix Wolffers, le nouveau coprésident de la Conférence suisse des institutions d’action sociale – institution qui élabore des normes qui servent de base aux législations cantonales en Suisse –, dans une interview donnée au quotidien Le Temps, vendredi 18 juillet 2014. (Voir cet article dans notre base de données…)